Avant la peur du loup

Paris, Éditions Syros, 2011 puis Stuttgart, Klett Verlag, 2013.
Une petite pièce de théâtre à jouer pour un groupe de 14 à 30 enfants.
Sélectionné par le ministère de l’Éducation nationale

* Catherine Gentile, site Ricochet Jeunesse :
« Nous sommes dans une forêt. Le Vieux chêne, le Châtaignier et le Tilleul sont les doyens de la communauté des arbres. Le Peuplier, le Charme, le Saule, le Sorbier, le Bouleau et l’Erable sont les bavards, qui commentent abondamment le moindre événement ; enfin le jeune sapin représente la jeune génération, dont la vision d’avenir ne coïncide pas forcément avec celle de ses aînés.
Alors, pour ces immobiles, la venue d’un enfant, qui s’est perdu, qui n’a pas de téléphone portable, qui aime les chips et qui n’a pas l’air d’avoir peur d’être là, est une source inépuisable de réflexions et d’échanges.
Une belle occasion d’évoquer la place de la forêt dans notre société urbaine et technologique, son recul et son aménagement, et ce qu’elle était avant : un refuge, un danger, une source vitale d’approvisionnement.
Un joli texte, tonique, drôle et poétique à la fois, qui permet de faire jouer un grand nombre d’enfants. »

* Damien Dhondt, site Science Fiction Magazine :
« Procurant une dimension magique à la nature, cette pièce de théâtre destinée à la jeunesse, évoque le temps qui passe et donne ainsi à la nostalgie, un reflet fantastique ».

* Stephie, site Mille et une pages :
« Un texte très drôle qui mélange à la fois clins d’œil à l’imaginaire traditionnel et à la modernité. Petite pièce très simple qui peut être jouée en classe par une quinzaine ou plus de personnages grâce à des indications scéniques astucieuses. Une jolie réussite ! »

* Emmyne, site Paperblog :
« Un texte amusant sans complication qui mêle à plaisir réalité urbaine contemporaine et légende collective, celle de se perdre dans la forêt, lieu de danger et de mauvaise rencontre ; un clin d’œil à l’univers des contes et des histoires classiques à l’humour et aux références adaptées aux plus jeunes, doublé d’un bel hommage à cette nature centenaire, à ses liens avec les hommes ».