Histoires Littéraires L.-F. Céline, Daniel Wallard, Aleister Crowley 2018

Histoires Littéraires L.-F. Céline, Daniel Wallard, Aleister Crowley 2018
April 1, 2019 Veronique Herbaut

La revue HISTOIRES LITTERAIRES N°76

Octobre-Novembre-Décembre 2018

comprend

Un dossier “Céline”
Introduction par Julien Bogousslavsky
Laurent Tatu : Frédéric et Fernand, bourlingueurs de 14
Julien Bogousslavsky : Les exemplaires sur Arches du Voyage au bout de la nuit
Julien Bogousslavsky, Odile Roynette et Laurent Tatu : Louis-Ferdinand Céline – De la blessure de guerre à la mythomanie
Claire Maingon : Gen Paul, Céline – une amitié sous haute tension

Et en “mélanges”, les contributions de :
Benoît Noël : Daniel Wallard et les mânes de Lili Brik et de Vladimir Maïakovski
Daniel Grojnowski : Charles Cros, des rires nouveaux
Eric Nicolas : Karah-Mehmhoud, Annibal de San Sabron et autres pseudonymes de temps de guerre de Tristan Derème
Marc Angenot : Les copieurs d’épitaphes
Claude Schopp : Deux portraits-charges inédits d’Alexandre Dumas par Eugène Delacroix
Jean-Yves Mollier : Pauline Larousse, une éditrice dans un univers d’hommes
Jean-Paul Goujon : Les loisirs de la Poste – Une lettre inédite de Raoul Ponchon à Charles Archbold-Aspol
Un entretien avec Dominique Kalifa mené par Michel Pierssens
L’indispensable chronique des ventes et des catalogues par Jean-Paul Goujon et Éric Walbec

Les recensions des livres reçus comprennent le recueil de textes d’Alesteir Crowley : Absinthe & Cocaïne édité par Frédéric Chaleil et l’essai Littérature et Médecine – Le cas de Proust dirigé par Mireille Naturel.

Donnons l’incipit et les 5 premières lignes du texte de votre serviteur : Daniel Wallard et les mânes de Lili Brik et de Vladimir Maïakovski
À Naum Kleiman, conservateur du Cabinet SM Eisentein

Un pharmacien, ami des arts : « Un seigneur ! L’apparence d’un aïkidoka et l’économie verbale d’un taoïste quoique de tempérament pas toujours zen. Pharmacien à Trouville-sur-Mer, photographe amateur, Daniel Wallard (1913-1983) a l’œil aguerri du critique d’art qu’il fut pour Pierre Seghers. Ses parents, hussards noirs de la République n’estimant pas pouvoir financer son rêve de devenir diplomate, il se fit potard »…

Une revue à commander, toutes affaires cessantes, sur le site de notre confrère :
Les Éditions du Lérot : http://www.dulerot.fr/index.php?id_category=26&controller=category